Henri, Nous pensons à toi !
Notre camarade Henri Alleg a subi cet été un grave accident vasculaire cérébral, dont il se remet lentement.
Chacun connaît ton passé glorieux de lutte contre le colonialisme français aux côtés des patriotes algériens.
Il y a encore quelques jours, ton activité de militant fidèle à son idéal se poursuivait à nos côtés. Nous avons besoin de ta lucidité politique sans concession, de ton refus de tout sectarisme, de ta gentillesse fraternelle.
Nous te souhaitons, Henri, un rapide rétablissement.